A letter to my other half Shimon

A letter to my other half Shimon

My heart belongs to you. I knew it from the first time I put my eyes on you. My heart was already yours even before I had a chance to talk to you. I knew it was you and no one else.

I LOVE YOU

Only you could make my heart beats the way it does whenever I think about you. You are present in my dreams, you comfort me, you calm me. I wonder what I did to deserve a such beautiful, smart, deep, kindhearted man in my life.

I LOVE YOU

More than I thought I could love again anyone. You help me be a better woman. You turn simple things into great treasures. For better and for worst I will always be on your side. Life won’t be easy. We’ll face many problems. But deep inside my heart I will always find the way to yours. I won’t go astray.

I LOVE YOU

I am blessed to be your chosen one. You show me how deep love can be. You elevate us every single day. You give me higher purpose in my life, the strength to pursue ma dreams. I’m lucky to have let you enter my life.

I LOVE YOU

I cherish those days we were together. When I put my head on your chest, I could hear our hearts beat in unison. Our kisses, our caresses were warmed our hearts and our souls. I hope the distance will strength our love. The silence will speak for itself. Our minds will be connected forever.

I LOVE YOU UNTIL DEATH DO US APART

Bogolan is the new Black…

J’ai eu envie ce matin d’habiller les femmes avec du Bogolan. Ce tissu originaire du Mali et que l’on retrouve dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest  🌍✨

Une envie soudaine d’un ailleurs m’a prise. Cet ailleurs étant actuellement inaccessible, puisque nous ne pouvons pas voyager ✈️,  ce sont ces pays d’Afrique de l’Ouest ☀️qui viendront à nous à travers ces motifs et ces couleurs ✨

✏️ : @sweetsessi

#bogolan #fashion #blogger #dress #mademoisellesessi #fashionsketch #africa #africanprint 

J’ai le droit de ne pas aimer mon corps

J’ai le droit de ne pas aimer mon corps

Nous sommes entrées dans l’ère du « Body Positivism ». Ce qui va faire un grand bien à toutes les femmes. Ces femmes qui sont si souvent victimes de grossophobie sur les réseaux sociaux de plus en plus violents dans leurs commentaires comme Twitter ou Instagram. Elles vont enfin pouvoir se montrer telles qu’elles sont et s’accepter. Ne plus se laisser influencer par les magazines de mode qui nous infligent à longueur de journée des photos de femmes irréelles, retouchées pour correspondre à un idéal dont nous ne comprenons pas l’utilité.

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A.B.C

Lors d’une recherche sur l’une de mes applications préférées « Pinterest », je suis tombée sur la photo d’une jeune fille noire adorable portant la légende suivante : « S is for Soul Sister ». 

Après quelques recherches, j’ai découvert que ce jeu de cartes avait été édité dans les années 70 à Chicago. J’imagine que ces images ont aidées des millions d’enfants noirs américains à avoir une image positive d’eux-même. Et cela pourrait aussi aider de nombreux adultes à se voir autrement.  En effet, il est difficile de s’aimer lorsqu’à longueur de journée tout ce qui nous définit est critiqué et dénigré : 

  • Notre chevelure est moquée : Ce matin encore un collègue « blanc » qualifiait une coiffure composée de tresses collées de « dégueulasse ».
  • Notre nez est critiqué
  • Notre couleur de peau nous fait courir le risque d’être discriminé voire pire d’être tué à tout moment
  • Notre histoire est cachée ou ré-écrite. Car nous avons perdu de nombreux combats sur nos terres. Et nous savons bien que l’histoire est écrite par les vainqueurs.

Je souhaitais donc partager ces images avec vous. Pour vous réchauffer un peu le coeur en ce début d’hiver. Nous sommes des descendants de rois et de reine. Nos ancêtres ont bâtis de grands et prospères empires. Notre continent est le berceau de l’humanité. Donc répétez vous chaque jour les phrases suivantes : 

  • Nous sommes beau
  • Nous sommes intelligents
  • Nous sommes forts
  • Et rien ni personne ne pourra changer cela

Détruire la misère

Détruire la misère

Je voulais partager avec vous le discours de Victor Hugo à l’assemblée nationale législative le 9 juillet 1849. Une de mes amies a partagé ce texte qui m’a ému tant il est malheureusement encore trop d’actualité.

Je ne suis pas, messieurs, de ceux qui croient qu’on peut supprimer la souffrance en ce monde ; la souffrance est une loi divine ; mais je suis de ceux qui pensent et qui affirment qu’on peut détruire la misère.

Remarquez-le bien, messieurs, je ne dis pas diminuer, amoindrir, limiter, circonscrire, je dis détruire. La misère est une maladie du corps social comme la lèpre était une maladie du corps humain ; la misère peut disparaître comme la lèpre a disparu. Détruire la misère ! Oui, cela est possible ! Les législateurs et les gouvernants doivent y songer sans cesse ; car, en pareille matière, tant que le possible n’est pas fait, le devoir n’est pas rempli.

La misère, messieurs, j’aborde ici le vif de la question, voulez-vous savoir jusqu’où elle est, la misère ? Voulez-vous savoir jusqu’où elle peut aller, jusqu’où elle va, je ne dis pas en Irlande, je ne dis pas au Moyen Âge, je dis en France, je dis à Paris, et au temps où nous vivons ? Voulez-vous des faits ?

Mon Dieu, je n’hésite pas à les citer, ces faits. Ils sont tristes, mais nécessaires à révéler ; et tenez, s’il faut dire toute ma pensée, je voudrais qu’il sortît de cette assemblée, et au besoin j’en ferai la proposition formelle, une grande et solennelle enquête sur la situation vraie des classes laborieuses et souffrantes en France. Je voudrais que tous les faits éclatassent au grand jour. Comment veut-on guérir le mal si l’on ne sonde pas les plaies ?

Voici donc ces faits.

Il y a dans Paris, dans ces faubourgs de Paris que le vent de l’émeute soulevait naguère si aisément, il y a des rues, des maisons, des cloaques, où des familles, des familles entières, vivent pêle-mêle, hommes, femmes, jeunes filles, enfants, n’ayant pour lits, n’ayant pour couvertures, j’ai presque dit pour vêtement, que des monceaux infects de chiffons en fermentation, ramassés dans la fange du coin des bornes, espèce de fumier des villes, où des créatures s’enfouissent toutes vivantes pour échapper au froid de l’hiver.

Voilà un fait. En voulez-vous d’autres ? Ces jours-ci, un homme, mon Dieu, un malheureux homme de lettres, car la misère n’épargne pas plus les professions libérales que les professions manuelles, un malheureux homme est mort de faim, mort de faim à la lettre, et l’on a constaté, après sa mort, qu’il n’avait pas mangé depuis six jours.

Voulez-vous quelque chose de plus douloureux encore ? Le mois passé, pendant la recrudescence du choléra, on a trouvé une mère et ses quatre enfants qui cherchaient leur nourriture dans les débris immondes et pestilentiels des charniers de Montfaucon !

Eh bien, messieurs, je dis que ce sont là des choses qui ne doivent pas être ; je dis que la société doit dépenser toute sa force, toute sa sollicitude, toute son intelligence, toute sa volonté, pour que de telles choses ne soient pas ! Je dis que de tels faits, dans un pays civilisé, engagent la conscience de la société tout entière ; que je m’en sens, moi qui parle, complice et solidaire, et que de tels faits ne sont pas seulement des torts envers l’homme, que ce sont des crimes envers Dieu !

Voilà pourquoi je suis pénétré, voilà pourquoi je voudrais pénétrer tous ceux qui m’écoutent de la haute importance de la proposition qui vous est soumise. Ce n’est qu’un premier pas, mais il est décisif. Je voudrais que cette assemblée, majorité et minorité, n’importe, je ne connais pas, moi de majorité et de minorité en de telles questions ; je voudrais que cette assemblée n’eût qu’une seule âme pour marcher à ce grand but, à ce but magnifique, à ce but sublime, l’abolition de la misère !

Et, messieurs, je ne m’adresse pas seulement à votre générosité, je m’adresse à ce qu’il y a de plus sérieux dans le sentiment politique d’une assemblée de législateurs ! Et à ce sujet, un dernier mot : je terminerai par là.

Messieurs, comme je vous le disais tout à l’heure, vous venez avec le concours de la garde nationale, de l’armée et de toute les forces vives du pays, vous venez de raffermir l’État ébranlé encore une fois. Vous n’avez reculé devant aucun péril, vous n’avez hésité devant aucun devoir. Vous avez sauvé la société régulière, le gouvernement légal, les institutions, la paix publique, la civilisation même. Vous avez fait une chose considérable… Eh bien ! Vous n’avez rien fait !

Vous n’avez rien fait, j’insiste sur ce point, tant que l’ordre matériel raffermi n’a point pour base l’ordre moral consolidé ! Vous n’avez rien fait, tant que le peuple souffre ! Vous n’avez rien fait, tant qu’il y a au-dessous de vous une partie du peuple qui désespère ! Vous n’avez rien fait, tant que ceux qui sont dans la force de l’âge et qui travaillent peuvent être sans pain ! Tant que ceux qui sont vieux et ont travaillé peuvent être sans asile ! Tant que l’usure dévore nos campagnes, tant qu’on meurt de faim dans nos villes, tant qu’il n’y a pas des lois fraternelles, des lois évangéliques qui viennent de toutes parts en aide aux pauvres familles honnêtes, aux bons paysans, aux bons ouvriers, aux gens de cœur ! Vous n’avez rien fait, tant que l’esprit de la révolution a pour auxiliaire la souffrance publique ! Vous n’avez rien fait, rien fait, tant que dans cette œuvre de destruction et de ténèbres, qui se continue souterrainement, l’homme méchant a pour collaborateur fatal l’homme malheureux !

Il y aura toujours quelque chose de bon dans chaque journée

Il y aura toujours quelque chose de bon dans chaque journée

Ce qui compte ne peut pas toujours être compté et ce qui peut être compté ne compte pas forcément
Albert Einstein

Le mois d’octobre touche à sa fin. Et si nous faisions du mois de novembre un mois de gratitude ? Pour cela rien de plus simple :

Chaque jour répondez à la question du thème de la journée :

a – Sur le blog
Laissez en commentaire de ce billet un message concernant le thème de chaque jour.

b – Sur les réseaux sociaux
En utilisant le hashtag #30JoursDeGratitudeBySweetSessi, vous pouvez poster des photos sur Instagram ou un message sur Tweeter pour expliquer pourquoi vous êtes reconnaissant(e).

c – Dans un carnet
Ce challenge est avant tout fait pour vous. Donc si vous ne souhaitez pas partager vos raisons d’être reconnaissant(e) avec le monde entier, vous pouvez les noter chaque jour dans un carnet.  A la fin du mois, vous pourrez relire vos notes et vous vous rendrez compte du bonheur qui vous entoure.

Alors sans plus tarder, voici la liste :

1 – Ma maison : Pourquoi suis-je heureux/heureuse chez moi ?
2 – Mes amours : Pourquoi ai-je envie de remercier mes amours d’être dans ma vie ?
3 – Mon travail : Pour quelles raisons suis-je bien dans mon travail ? Quels sont les points positifs ?
4 – Mes ami(e)s : Pourquoi ai-je envie de remercier mes ami(e)s d’être là ?
5 – Ma famille : Pourquoi est-elle précieuse ? Pourquoi ai-je envie de la remercier ?
6 – Mes inspirations : Qui m’inspire ? Pour quelles raisons ai-je envie de les remercier ?
7 – Mes fous rires : Quels sont ces moments où j’ai ri, pourquoi suis-je reconnaissant(e) de ces moments ?
8 – La technologie : Quels sont les objets qui m’entourent et pourquoi est-ce que j’y tiens ?
9 – Mes lectures : Quelles sont les lectures qui m’ont marqué(e) et pourquoi ?
10 – La nature : Qu’est-ce que j’aime dans la nature ? Pourquoi ?
11 – L’apprentissage : En quoi apprendre est positif ? Quels sont les apprentissages dont je suis reconnaissant(e) ?
12 – Ma routine : Qu’est-ce que j’aime dans ma routine ? En quoi contribue-t-elle à mon bonheur ?
13 – Un cadeau : Il y a-t-il un cadeau en particuliers qui m’a marqué dans la vie ? Pour quelles raisons ai-je envie de dire merci ?
14 – Mes rêves : Pourquoi mes rêves sont importants / positifs ? Quels sont-ils ?
15 – Un voyage : Un voyage a-t-il été marquant de façon positive ? Pour quoi ai-je envie de lui dire merci ?
16 – La musique : En quoi la musique me rend heureux/heureuse ? Quels sont mes morceaux favoris ?
17 – La créativité : En quoi la créativité apporte du bon dans ma vie ?
18 – La nourriture : Quels sont les points positifs de la nourriture ? Quel rapport positif ai-je avec la nourriture ? Quelle nourriture me rend heureux/heureuse ?
19 – La flore : Pourquoi j’aime avoir / voir / cueillir / photographier des fleurs ? Quel impact positif ont les fleurs sur mon humeur ?
20 – La faune : En quoi les animaux contribuent à rendre ma vie plus belle ? Quels sont mes animaux préférés et pourquoi ?
21 – Le renouveau : Pourquoi le renouveau est positif dans une vie ? Quel tournant de ma vie a été bénéfique ?
22 – Le challenge : En quoi se challenger contribue à être plus heureux ? Quels sont mes défis ?
23 – Mon dressing : En quoi mon dressing / mes vêtements / chaussures / accessoires contribuent à mon bien-être ?
24 – La santé : Pour quelles raisons dois-je remercier ma santé ? En quoi est-elle essentielle ?
25 – Mes souvenirs : Quels sont les souvenirs qui m’ont marqué(e) de manière positive ? Pourquoi ai-je envie de leur dire merci ?
26 – Mon talent : Petit ou grand quel est mon talent ? Pourquoi suis-je reconnaissant(e) de l’avoir ?
27 – Mon passé : Heureux ou douloureux, en quoi mon passé a contribué à mon bonheur d’aujourd’hui ?
28 – Les épreuves : Pourquoi sont-elles nécessaires ? Quelles bonnes leçons en ai-je tiré ?
29 – Mon corps : Pour quelles raisons ai-je envie de lui dire merci et que je l’accepte tel qu’il est ?
30 – Ma couleur : Quelle est ma couleur préférée ? En quoi contribue-t-elle à mon bonheur ? Qu’est ce que je ressens en la voyant ?

Voilà, à vous de jouer ! Bon mois de novembre.

Et n’oubliez pas : La vie est une fête !

 

Les contes d’Amadou Koumba

Les contes d’Amadou Koumba

Petit retour en enfance avec ce livre de contes.

Un recueil de contes du Sénégal, transcrits par Birago Diop d’après les récits du griot Amadou, fils de Koumba.

Un régal pour notre imagination.

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Bonne lecture !

PS : Lorsque vous l’aurez lu ou si vous l’avez déjà lu, n’hésitez pas à ajouter un commentaire pour me dire ce que vous en avez pensé.